Marco Bezzecchi (Aprilia) ou Alex Marquez (Gresini Ducati) étaient les grands favoris de ce dernier sprint de l'année. L'avantage de la pole position allait au premier après une performante qualification.
Mais le départ a été beaucoup plus favorable à Alex Marquez qui s'est emparé du commandement dès le début et a fait la course en tête pour aller s'imposer à nouveau.
En l'absence de son frère, il a repris le flambeau des Marquez au plus haut sommet de la MotoGp.
Pedro Acosta (KTM) visait également la victoire mais il a été confronté aux limites de sa moto actuelle, performante mais pas assez pour battre encore une Ducati. Il termine à une brillante 2e place.
Fabio Di Giannantonio (VR46) a également été rapide et termine à la 3e place finale.
Mais le départ a été beaucoup plus favorable à Alex Marquez qui s'est emparé du commandement dès le début et a fait la course en tête pour aller s'imposer à nouveau.
En l'absence de son frère, il a repris le flambeau des Marquez au plus haut sommet de la MotoGp.
Pedro Acosta (KTM) visait également la victoire mais il a été confronté aux limites de sa moto actuelle, performante mais pas assez pour battre encore une Ducati. Il termine à une brillante 2e place.
Fabio Di Giannantonio (VR46) a également été rapide et termine à la 3e place finale.
Bezzecchi a raté son départ et perd beaucoup de places dès le premier tour se retrouvant placé 6e seulement.
Alex Marquez fait le rythme d'entrée de jeu et on ne pourra plus lui contester la victoire. Pedro Acosta a pourtant essayé de suivre le rythme mais il a trouvé plus fort que lui. Il prend tout de même la 2e place.
Di Giannantonio a gagné son duel face à Raul Fernandez et son Aprilia Trackhouse. Il prend la médaille de bronze à 2 tours de la fin.
Fabio Quartararo n'a pu faire mieux que 7e pour le compte de Yamaha.
Bagnaia a eu de nouveau des difficultés et reste bloqué à la Q1 s'élançant seulement 16e sur la grille. Le pilote italien termine également hors des points lors du sprint et perd également la 4e place du championnat mondial.
Johann Zarco ne marque pas non plus de point mais l'accrochage entre les 2 pilotes officiels Honda (Mir et Marini) lui profite dans la lutte interne pour être le meilleur pilote Honda de l'année.
Pour son retour à la compétition, Jorge Martin a souffert et termine dernier sur son Aprilia. Son coéquipier, Marco Bezzecchi n'aura pas pu faire mieux que 5e alors qu'il visait la victoire.
Alex Marquez fait le rythme d'entrée de jeu et on ne pourra plus lui contester la victoire. Pedro Acosta a pourtant essayé de suivre le rythme mais il a trouvé plus fort que lui. Il prend tout de même la 2e place.
Di Giannantonio a gagné son duel face à Raul Fernandez et son Aprilia Trackhouse. Il prend la médaille de bronze à 2 tours de la fin.
Fabio Quartararo n'a pu faire mieux que 7e pour le compte de Yamaha.
Bagnaia a eu de nouveau des difficultés et reste bloqué à la Q1 s'élançant seulement 16e sur la grille. Le pilote italien termine également hors des points lors du sprint et perd également la 4e place du championnat mondial.
Johann Zarco ne marque pas non plus de point mais l'accrochage entre les 2 pilotes officiels Honda (Mir et Marini) lui profite dans la lutte interne pour être le meilleur pilote Honda de l'année.
Pour son retour à la compétition, Jorge Martin a souffert et termine dernier sur son Aprilia. Son coéquipier, Marco Bezzecchi n'aura pas pu faire mieux que 5e alors qu'il visait la victoire.
Jack Miller a terminé 12e après un contact très controversé avec Fermín Aldeguer au début du 3e tour. Les commissaires de course ont d'abord infligé une pénalité de trois places, convertie ensuite en un long lap car le pilote n'a pas observé la première pénalité.
Après un bon départ qui lui a permis de passer neuvième au premier virage, les tours suivants se sont avérés compliqués pour le pilote australien, engagé dans une lutte acharnée avec Fermín Aldeguer pour la huitième place.
Après une tentative avortée à la fin du premier tour, au début du troisième tour, au virage 2, Miller a lancé une nouvelle attaque sur l'Espagnol qui, comme précédemment, au lieu de céder, a choisi de relâcher les freins, provoquant un contact inévitable entre les deux motos.
Après un bon départ qui lui a permis de passer neuvième au premier virage, les tours suivants se sont avérés compliqués pour le pilote australien, engagé dans une lutte acharnée avec Fermín Aldeguer pour la huitième place.
Après une tentative avortée à la fin du premier tour, au début du troisième tour, au virage 2, Miller a lancé une nouvelle attaque sur l'Espagnol qui, comme précédemment, au lieu de céder, a choisi de relâcher les freins, provoquant un contact inévitable entre les deux motos.
JACK MILLER : Pilote Prima Pramac Yamaha MotoGP
« J'ai essayé aujourd'hui de tirer le maximum de la moto. J'étais un peu à la limite le matin avec le pneu tendre, mais c'était la seule option. Ensuite, il y a eu la course sprint : j'ai pris un bon départ, malheureusement il y a eu cet incident avec Aldeguer et… je voyais le tableau de bord, mais perdre trois places à ce moment-là, alors que j'ai deux secondes d'avance sur la moto suivante, c'est un peu ridicule, donc je n'allais pas le faire.
Mais quand le long tour est arrivé, j'ai compris que je devrais peut-être le refaire demain en GP, alors autant le faire. J'ai quand même perdu trois places, et le pneu n'était plus performant après ce long tour avec toute cette poussière.
La pénalité n'est pas justifiée à mon avis : il est impossible de doubler si quelqu'un continue de freiner brusquement. Je l'avais déjà doublé une fois au dernier virage et il a continué à rouler sur ma roue avant ; on est sortis de travers, mais comme sa moto est une fusée, il est reparti. J'ai donc passé un tour et demi à réfléchir à la meilleure stratégie à adopter. » J'ai tenté une autre manœuvre. J'ai pris le meilleur départ possible du virage 1 et j'ai attaqué à nouveau dans le virage 2.
Tout était sous contrôle jusqu'à ce que, lorsque je me suis retrouvé à sa hauteur, il recommence à relâcher les freins. J'ai essayé de me serrer de plus en plus, mais à un moment donné, le contact était inévitable. La manœuvre intelligente, s'il était sûr de pouvoir me dépasser, aurait été de freiner plus fort et de couper à l'intérieur. Mais en pilotant comme ça, on provoque le contact.
Et ce n'est pas correct. Il a arraché des ailes à des pilotes cette semaine, il m'a percuté latéralement la semaine dernière et il ne s'est rien passé. Et cette semaine, il a provoqué le contact et j'ai écopé d'une pénalité.
Je fais de mon mieux avec une moto sous-motorisée, mais quand on réussit un dépassement propre, ils compliquent les choses en relâchant les freins et en roulant sur votre roue avant. Ce n'est pas de la course, c'est de l'esquive.
C'est le style de pilotage de la nouvelle génération. Il y a un manque de cohérence de la part des commissaires – le problème est totalement ignoré. J'ai été suspendu dix minutes de la séance à cause de ma moto. « Ils ont laissé une moto fumer pendant la moitié d'une course et l'ont laissée gagner le Grand Prix. Où est la cohérence ? »













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